Attention ! 2 liens de 180mo chaque !

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Réunion de 3 Ep datant de 63 a 65, vous me direz que c'est plutôt un best-of. Il fut d'ailleurs édité sous plusieurs titres dont : "disque d'or". Bon alors quelle est la différence avec les 4 titres ? Eh ben c'est en stéréo. C'était le plus produit de l'époque. Ça sonne  pas du tout pareil et c'est parfois une autre prise.

Vous pouvez jouer au différences ici ! Pire avec lui,  les versions cds sont réenregistrés mais seulement la voix ( mi-90') sauf un coffret ! Donc avec le Sacha il faut avoir les albums pour être certain du résultat ( Bref, pas compiler sur plusieurs galettes argentées où pas comme le font certain !)

J'ai dû le mettre quelque part car c'est un vieux rip ( forum, ici ou pap's !) et il n'était pas sur le blog !

Comme d'hab' le son est top et le mp3 est largement suffisant pour ce genre de zik.

 

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Complément de l'intégrale ici !

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Nouvel opus, cru 1975 avec pour la plupart des titres un auteur normalement lambda qui, souvent, se surpasse : Henri Djian. Clay est sa muse et il s'amuse. La chanson "les juifs" est un titre incroyable, et la chanson passe crème contrairement à un Sardou (ou plutôt Delanoë) avec son" temps des colonies". Peut-être parce que Clay reste encore un peu rive gauche, mais de droite et peut se "permettre". Je vous propose en bonus un titre inédit de la même période. Chose incompréhensible : c'est au même moment qu'il sort "La Complainte Des Apaches", la chanson qui va le rendre connu de ma génération, et elle ne figure pas dans l'album.

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  Deux histoires de Lupin raconté par Descrières et Carel ( ce qui est bizarre car le narrateur est volé aussi par Lupin !) + les 2 chansons qui accompagnent ce 33 tours.  Lupin est de nouveau à la mode à cause que c'est désormais dans le domaine public et qu'Edgar peut reprendre son nom d'origine Lupin III, et que tout le monde peu en faire n'importe quoi ! Tu as aussi "les pieds nickelés"; "Betty Boop"; Popeye; mais pas Mickey, non, pas touche à lui et paf ! Loi et 70 ans d'attente désormais au lieu de 50 ! Chose que je n'avais jamais remarqué : les deux chansons commencent par "C'est le plus grand !".

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 Le 31 juillet, je rippe ce disque. Je le pose dans mes préparations puis je le laisse murir, sauf, qu'en revenant dessus, j'égare la pochette. Bon, je me dis que c'est pas grave, je regarderai sur Discogs.

Manque de bol, que nenni. Rien sur le net, à part un entrefilet sur la chanson "Quelque chose me dit" qui fut cinquième de la sélection du concours eurovision 85. Donc, avec un peu de rangement, la pochette réapparait, coincée derrière un meuble. Un disque oublié une seconde fois, en fait.

Denis Pepin, bref, on connait. Pratiquement un des seuls à reprendre Brassens plusieurs fois, sans le copié/collé. Il signe aussi des chansons sous son vrai nom : Farid Kaldi,  mais passé les années '70, c'est plus ça. Là, on a le droit au son 80 synthépop, mais à la construction des chansons manière la décennie d'avant, un peu comme les "Sweet people", puisque ça duotte. Il y a quand même un atout dans ce disque, la présence de Christophe Deschamps à la batterie. Ça passe crème.

La chanteuse Irka, tu la retrouves de nos jours sous son vrai nom : Irka Bochenko et en pseudo, Iren Bo,  comme compositeur pour varieté non tubesque..Elle fut aussi James Bond girl avec Roger et proie dans "Bilitis". Non, seulement on rippe, mais en plus on fait des recherches, on recoupe, on regarde si c'est bien elle etc. Un disque introuvable encore trouvé !

Bonne écoute et a +

ps :  J'ai pas cherché l'originale de la reprise de Jackson Browne et  David Lindley  ( la 8). Si quelqu"un...

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 Vers le milieu des années '80, le label indépendant Tréma crée au départ pour l'artiste... Marcel Amont, avec comme locomotive Michel Sardou et dans les wagons dorés Hervé Vilard, Enrico, signe quelques artistes fragiles, qui auraient besoin vraiment d'un très bon attaché de presse et d'une direction musicale non hasardeuse. Bref, recentrer Lievaux, le groupe Ange, et faire connaitre sur le territoire français Pierre Rapsat après son chef d'oeuvre "ligne claire". Le premier aura le droit à un placement produit avec la pub' Phildar. Je vous propose son second album. Les deuxième vireront varietoche de luxe avec deux albums détestés par les fans hardcores mais apprécié par d'autres ( Fou ! et Egna ) et le troisième aura le droit à un passage télé l'après-midi chez Dechavanne. Bref Gerard Melet, le directeur artistique de Tréma à l'époque c'est pas Clive Davis. Il a fini peintre d'ailleurs...

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Bien qu'il existât un nombre incalculable de vinyles et de chansons concernant la meneuse de revue hors du commun. Je me demandais s'il y avait un album original, qui ne fasse pas la promo de ses spectacles, tout en étant bien produit, homogène. Eh bien c'est en 1968 que Zizi relève ce challenge avec pour chef d'orchestre le fabuleux Michel Colombier, qui sort tout droit de l'avenue Hoche; où il a concocté un pur chef d’œuvre : "Bonnie & Clyde". Pour  "Bloody Jack" et "D'aventures en aventures", il faudrait avoir les dates d'enregistrement exact pour savoir qui est le créateur puisque les chansons sont sortis la même année (Bardot et Lama). Zizi c'est un charisme de dingue. Suffit de voir le film "charmants garçons" pour comprendre. La façon de faire cet album est un peu le même système que Régine ! On prend des auteurs de très hautes pointures et on mélange. Même Botton qui nous pond un petit bijou ( l'auteur de "la grande Zoa) est de la partie. Bref, un album à redécouvrir et à savourer.

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